Les postes de techniciens recoupent l’essentiel des emplois de formation collégiale. Ce titre englobe les fonctions propres à la recherche (techniciens de laboratoire, soins animaliers, infirmiers, préparateurs, électrotechnique, acoustique et génie mécanique, entre autres) ainsi qu’une variété de fonctions administratives (secrétariat, comptabilité, graphisme, gestion informatique, archive, etc..).
Notons finalement certaines catégories d’emplois, aussi rémunérées à partir de fonds de recherche et qui, sans nécessiter de formation technique, viennent en appui aux fonctions de recherche, tels les commis, aides techniques et autres préposés.
Les professionnelles et professionnels de recherche (PPR) contribuent de façon déterminante à la recherche et à la formation des étudiants dans toutes les universités du Québec. Le travail des PPR permet d’accroître la qualité, la quantité et la productivité de la recherche, en plus d’apporter une contribution substantielle à la formation des étudiants des cycles supérieurs.
Les PPR se concentrent sur la recherche dans tous les domaines du savoir. Ils contribuent à établir la notoriété d’une équipe ou d’un centre de recherche, voire d’une université, et à financer les recherches ultérieures. Parfois, ils dirigent des projets de recherche au même titre qu’un professeur-chercheur.
Le ou la chercheur⋅e postdoctoral⋅e ne se définit pas par sa fonction mais plutôt par son statut administratif particulier. Ainsi, ce chercheur⋅e est détenteur d’un doctorat de recherche (Ph.D.), ou l’équivalent, et poursuit sa formation par un stage au sein d’une équipe de recherche dans une institution reconnue.
Au Québec, ce statut est reconnu comme étant celui d’un stagiaire et ne peut être octroyé que pour une période maximale de cinq ans suivant l’octroi du grade de 3e cycle (Ph.D.).